![]() | ![]() |
Le Troisième Jour ! Lundi 05 Septembre.L'unique photo, cela ne vas pas durer! Après une agréable nuit, nous allions dire adieu à nos hôtes. J'avais oublié de vous dire que parmi nos hôtes, se trouvait un fameux joueur de Hud, celui que vous verrez sur la série de photos du jour. Il s'est fait une heureuse fortune, mais reste dans sa maison perdue en montagne dans un style bédouin sédentarisé. sommes attendus pour un déjeuner copieux dans la maison C'est lui qui nous convie au petit banquet matinal avec force olives, zatar et huile d'olive (pour ceux qui ne connaissent pas, trempez un morceau de pain dans l'huile, puis ensuite trempez le dans le zata, une herbe séchée et hachée: un véritable délice). Nous nous arrétons pas là, oeufs brouillés, beurre fait maison, concombres et tomates du jardin, etc... le tout bercé par une douce musique de hud que nous jouait un de ses amis. Nos deux joueurs font une belle paire et tour à tour il jouent et chantent. A ce moment précis le pater familias entre, et c'est étonnant de voir le respect que les jeunes ont envers les anciens. Tous se lèvent lui font place dans le centre de la pièce et lui présente tous les hôtes. La situation devient embarrassante lorsque le 'patriarche' pousse son enquête un peu plus loin: Quels sont vos liens, qui est cette jeune fille (Astride) et ce jeune (Charles). Commençant à répondre tout bonnement que nous étions amis, le fils, profitant de la faible audition de sont père anticipe et marie donc Fulgence à Astride qu'accompagne son frère Charles. Il nous fait comprendre que la vieille génération, spécialement dans le monde arabe musulman, ne comprend pas qu'une jeune fille puisse se promener avec des amis! On se le tient pour dit, et on décide d'appliquer le plan de manière systématique dans les régions où l'on pense avoir recours à ce stratège. Flattés par cet acceuil, nous prenons congés, non sans un bocal d'olives supplémentaire sur le porte bagage. Sur le chemin de retour vers Amman, nous faison escale A Iraq Al-Amir pour visiter les grottes. Nuit au patriarchat |